Presque sans le sou
Des seigneurs et des
princesses
Y en a plus
beaucoup »
La chanson de Bourvil ne figure pas dans les entrailles du
juke-box du bar d’Arles en voie de disparition mais vient parfaitement conclure
ce documentaire observant avec tendresse la patronne et ses clients. Eux c’est
plutôt Johnny.
Des personnages, abimés,
au passé tourmenté, assoiffés, essayant d’arrêter de fumer, énergiques et
fatigués alternent mauvaise foi et générosité.
Les moments chaleureux qu’ils se
fabriquent n’en prennent que plus de
valeur.
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