Pour cette année pas de film qui fera date dans l’histoire
du cinéma, mais le souvenir d’un festival de Cannes pleinement retrouvé, condensant tous
les plaisirs d’un amateur de salles obscures.
Un hommage à Sempé et Goscinny partagé avec mes petits
enfants.
Ce polar sans prétention nous interroge sans nous braquer une lampe dans les yeux.
La violence du monde se rappelle à nous dans des lieux où, tellement familière,
elle aurait pu passer derrière d’autres calamités plus récentes.
Le souvenir des juifs pendant l’occupation peut être retracé
avec finesse et vigueur.
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