 Depuis Verdun, les collines à conquérir se payent de sang dans la boue aux ordres d’un commandement assassin. L’hommage aux troufions  américains incompris qui se sont fait hacher menu en cette fin de la guerre du Viet Nam manque de nouveauté, même si le titre illustre à la lettre l’humour comme politesse du désespoir. Les personnages sont pourtant intéressants et la dimension raciale abordée dans ce film  de John Irvin est nouvelle,  de même que les échos qui arrivent de l’arrière hostiles à cette  guerre perdue; les scènes d’actions  sont efficaces,  mais les ennemis invisibles, le film est vain.
Depuis Verdun, les collines à conquérir se payent de sang dans la boue aux ordres d’un commandement assassin. L’hommage aux troufions  américains incompris qui se sont fait hacher menu en cette fin de la guerre du Viet Nam manque de nouveauté, même si le titre illustre à la lettre l’humour comme politesse du désespoir. Les personnages sont pourtant intéressants et la dimension raciale abordée dans ce film  de John Irvin est nouvelle,  de même que les échos qui arrivent de l’arrière hostiles à cette  guerre perdue; les scènes d’actions  sont efficaces,  mais les ennemis invisibles, le film est vain.
mercredi 16 juin 2010
Hamburger hill
 Depuis Verdun, les collines à conquérir se payent de sang dans la boue aux ordres d’un commandement assassin. L’hommage aux troufions  américains incompris qui se sont fait hacher menu en cette fin de la guerre du Viet Nam manque de nouveauté, même si le titre illustre à la lettre l’humour comme politesse du désespoir. Les personnages sont pourtant intéressants et la dimension raciale abordée dans ce film  de John Irvin est nouvelle,  de même que les échos qui arrivent de l’arrière hostiles à cette  guerre perdue; les scènes d’actions  sont efficaces,  mais les ennemis invisibles, le film est vain.
Depuis Verdun, les collines à conquérir se payent de sang dans la boue aux ordres d’un commandement assassin. L’hommage aux troufions  américains incompris qui se sont fait hacher menu en cette fin de la guerre du Viet Nam manque de nouveauté, même si le titre illustre à la lettre l’humour comme politesse du désespoir. Les personnages sont pourtant intéressants et la dimension raciale abordée dans ce film  de John Irvin est nouvelle,  de même que les échos qui arrivent de l’arrière hostiles à cette  guerre perdue; les scènes d’actions  sont efficaces,  mais les ennemis invisibles, le film est vain.
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