Le poète du spleen se rend dans le fog londonien à la
rencontre de l’américain maître du fantastique qu’il a traduit.
Mais l’absinthe a beau couler à flot, et celui qui a supporté « le ciel bas et lourd comme un couvercle » se réveiller dans une pièce inconnue, aucune ivresse, aucun mystère.
Mais l’absinthe a beau couler à flot, et celui qui a supporté « le ciel bas et lourd comme un couvercle » se réveiller dans une pièce inconnue, aucune ivresse, aucun mystère.
Les péripéties ont beau se présenter en plongée ou
contre-plongée, aucun vertige.
Le brouillard est bien rendu mais c’est l’ennui qui nous
accompagne parmi des personnages sans épaisseur dont on est amené à se méfier pour
on ne sait quelle raison.
C’est vrai que la barre était très haute :
« Plonger au fond
du gouffre, Enfer ou Ciel, qu'importe ?
Au fond de l'Inconnu
pour trouver du nouveau ! »
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