Si le lecteur n’est pas aussi fasciné par le noir romantisme
des personnages ultra violents suivis par les auteurs qui ont enquêté dans la
galaxie anarchiste, cherchant les « raisons de la colère », un autre
reportage chez les marchands de canon
va au-delà de la confortable position pacifiste.
Par ailleurs l’attitude vis-à-vis de l’armée de Trump est cocasse, le rappel de la loi Veil pas inutile, et l’histoire du café
pas anodine quand elle se lie récemment avec le réchauffement climatique. L’évocation
des lignes de chemin de fer autour de Veynes
parlera aux Rhônalpins.
Quand les étrangers, en Suisse, sont des frontaliers français dont le nombre est
aussi important que ceux travaillant à la SNCF, nous pouvons apprendre qu’avec
leurs salaires plus élevés, leur indemnisation revenant à la France, compte
pour un tiers dans le déficit de notre assurance chômage.
Se remémorer un film qui fit nos délices « Les dieux sont tombés sur la
tête » invite à des révisions qui pourraient s’avérer
décevantes : à vérifier.
Les danses folkloriques figurant dans la rubrique sportive offrent une pause,
signifiante tout de même, puisqu’il semble que la gavotte redevienne tendance alors qu’un retour sur un sujet traité
concernant le « Dieselgate »
n’est pas de trop pour nous tenir en alerte.
La bande dessinée autour d’Eugène Poubelle, John McAdam ou Rudolf Diesel nous divertit, eux dont
« les noms propres désignent désormais des choses qui le sont
moins » : il s’agit d’antonomase.
Le dessin de Soulcié reproduit en tête de l’article m’a paru
pertinent, si on ne se contente pas seulement de voir BFM comme responsable de
toutes les polémiques qui minent la vie démocratique de notre nation.
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