Pour être à plusieurs reprises tombé dans le déni de la
réalité au cours de ma vie, je sais le repérer chez d’autres dans ces
circonstances tragiques qui nous accablent avec la mort de Cabu et Wolinski :
nous aimerions être ailleurs, avant, ne pas avoir entendu.
Nous préférons tellement être par intermittence aveugles et
sourds ; est-ce une condition pour survivre ?
Comme tant de voix s’élèvent pour louer tous les disparus, je
trie dans mon chagrin pour rabâcher quelques mots au cœur de la nuit et les
lancer en partage :
« Rêveur d’an 01, fille du proviseur et même « mon
beauf » sont déchirés.
Les pépettes de Wolinski http://blog-de-guy.blogspot.fr/2014/02/le-pire-de-lavenir-georges-wolinski.html disparaissent derrière un voile
noir.
Ci-git ma jeunesse »
Hier au soir, une minute de silence a été observée avant la conférence des amis du musée consacrée au Pérugin.
Hier au soir, une minute de silence a été observée avant la conférence des amis du musée consacrée au Pérugin.
Je partage ta peine.Quand nous étions étudiants à Paris (67 68 69 70) nous avions un copain grand, maigre, tifs raides ,binoclard, que nous avons surnomé Duduche.....et pour cause.Nous adorions les 2....Jean michel, salut!
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