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et je le retrouve plus pessimiste que jamais, ayant délaissé
quelque peu la joliesse graphique au détriment d’une démarche essentiellement
militante.
L’écho suscité par leur intervention à propos de la
prolifération des algues vertes en Bretagne les encourage à alerter
sur la
pollution à Fos-sur-Mer et sa
quinzaine de zones classées Seveso
ou à Montreuil
quand des résidences sont prévues sur des emplacements d’usines au sol pollué
pas vraiment « nickel chrome ».
Le géant pétrolier Total
a longtemps semblé ignorer le réchauffement climatique alors que dès 1970,
ils en étaient conscients.
Tout le monde n’a pas la modestie de cette élue :
« On a un devoir
d’humilité, car la dépollution n’est pas une science exacte »
« Certains
riverains ont une maîtrise du dossier plus poussée que nous-mêmes. »
Pour les garants du droit, les inspecteurs du travail, la tâche n’est pas aisée.
C’est en Afghanistan
qu’il faut repérer une issue favorable avec une famille qui arrive à échapper
aux talibans. En 2021, 120 000 personnes avaient pu quitter Kaboul grâce à
l’OTAN.
Dans une rubrique utile revenant sur un reportage précédent
concernant la pédocriminalité au
sein de l’église qui avait reconnu que 330 000 mineurs avaient pu être
agressés depuis 1950, les mentalités évoluent, mais des blocages demeurent.
Le penchant critique de la ligne politique de la revue amène
l’équipe à ne voir dans la pensée
positive, qu’une pensée magique, religieuse et trumpiste.
Par contre
l’étude du mot « baiser »
bien que classique est habilement développée et l’expérience de boxe thaïlandaise est amusante.
Je n’ai
pas les références requises pour apprécier la rubrique musicale, ni celle
consacrée au cinéma et trop de désaccords politiques pour partager les
critiques d’une loi anticasseurs au
moment où viennent de flamber écoles
et commissariats.
Pedocriminalité...
RépondreSupprimerVoici un dossier qui me laisse terriblement perplexe.
Ça fait des années que les sonneurs d'alerte se font un devoir de révéler les abus dans l'église catholique, mais ailleurs, et pas que chez les supporteurs de Trump, "on" commence à fustiger toute la classe politique sur le cocktail Internet/pédophilie.
"On" chasse la pédocriminalité partout, il paraît, comme on a pu chasser les sorcières, dans le pas si lointain temps que ça.
Cela m'interroge.
Je sais qu'aux U.S., il y a des hommes qui croupissent en prison, accusés de pédophilie, alors que l'administration judiciaire sait qu'ils sont innocents.
"Pédophilie"... la ville américaine où j'ai passé six ans pendant mon enfance s'appelait "Philadelphie", la ville de l'amour fraternel.
"Pédophilie" qui nous vient de ce satané grec, veut dire "qui aime les enfants", mais... de quel amour ?
(Le "philos" de "pédophilie" est aussi le "philos" qu'on peut voir dans "philosophie", en l'occurrence.)
Je pense que nous ne parviendrons jamais à trancher cette question.
Logiquement... si on voit des pédophiles partout, on devrait les voir dans l'Education Nationale aussi qui fournit un terrain tout trouvé pour l'amour des enfants.
On devrait les voir/trouver dans n'importe quel secteur où adultes et jeunes sont rassemblés pour assurer la transmission entre les générations.
La société a les boucs émissaires qu'elle peut, surtout quand on a perdu le Nord à la hauteur où nous l'avons perdu en ce moment.