jeudi 3 septembre 2020

lmages d’été 2020 : Grenoble, Le Pin.

A la Galerie du Vent des Cimes jusqu’à fin août Emmanuelle Lemetais exposait ses tableaux aux vives couleurs lui permettant de rebaptiser Notre Dame de Paris, Belle Dame.
 Même si le maquillage est appuyé, Grenoble, Toulouse, Paris en sont toutes pop.
Le musée de Grenoble s’est recentré sur les artistes de la ville au XIX°siècle, 
et si nous retournons faire un tour sur les berges de l’Isère ou du Drac, la peinture de montagne nous emmène loin, au-delà de Paris, de l’Italie, ou des bords du Gange. 
Des tableaux vertigineux sont aussi proposés au Musée Dauphinois dans son exposition qui durera jusqu’en juin 2021, concernant les refuges de haute montagne, passés de la cabane de berger aux hôtels d’altitude. Les dispositifs muséographiques toujours inventifs de l’institution http://blog-de-guy.blogspot.com/2018/09/musees-dauphinois-et-de-leveche-au-mois.html   
contrastent avec un environnement négligé affichant encore à l’entrée des expositions qui n’ont plus lieu et des informations web incomplètes.
Si Eric Alibert et ses calligraphies Alpines au Musée de l’Ancien Evêché  jusqu’au 15 novembre fait inévitablement penser aux « paysages de montagne et d’eau » de la tradition chinoise, ses chamois, ses oiseaux en mouvement sont magnifiques. Ce lieu nous ravit toujourshttp://blog-de-guy.blogspot.com/2019/10/le-loup-jean-marc-rochette.html.

Au moment de la parution de cet article, Marjo Van Der Lee parmi d’autres céramistes, ne sera plus à la Grange dîmière au Pin, mais se retrouve sur le web, alors que nous ne manquerons pas de revenir chez les Chartreux de la Sylve Bénite.


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