Maintenant nous pouvons répondre : avec la compagnie québécoise acclamée ce soir à la MC2, quand
les acrobates nus derrière leurs serviettes endiablées partagent leurs pudeurs
affolées.
C’est qu’ils se sont
montrés virtuoses avec d’autres outils circassiens plus classiques, mais réinventés
tels que quilles, cerceaux, vélo, tremplins, barres en tous genres, décollant
complètement à la planche coréenne, sorte de balançoire pour s’envoyer en l’air.
Si le début est un peu lent, quelque peu poseur, lorsque les
bâches se lèvent sur des échafaudages, la musique vivante entraine les six
comparses dans une foisonnante représentation au rythme intense, à la créativité
époustouflante.
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