dimanche 3 février 2019

Good and guest. Rodolphe Burger.

Les paroles sont en anglais et  en allemand, et quand c’est en français, dans le mode « ne-me- quitte-pas-moi », nous restons dans le blues entêtant.
A la MC 2, les musiques peuvent taper, mais c'est avec élégance, le public est pourtant différent de celui qui  ne se met debout seulement lorsque le spectacle est exceptionnel. Quand des chanteurs s’y produisent, ce sont les fans qui viennent avec un enthousiasme que je n’ai pas partagé car je n’avais pas de connaissance approfondie de l’œuvre de ce collaborateur de Bashung et Higelin.
Le rocker alsacien parait désinvolte comme il se doit, mais il « assure », changeant de guitare entre chaque morceau. Bertrand Belin participe, toujours aussi énigmatique,  http://blog-de-guy.blogspot.com/2014/02/parcs-bertrand-belin.html . Avec un plateau conséquent et variable, le fondateur du groupe Kat Onoma livre une musique qui pourrait être envoutante si j’avais été emballé par la poésie des textes auxquels je suis resté étranger avec mes rigidités d’amateur d’une chanson française où les sons ne prenaient pas le pas sur le sens. Je vais me contenter des rééditions des Clerc, Thiéfaine Hubert Félix tout en évitant Popolnareff et autre qui n'en finissent pas de sortir.

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