Bien que le format à trois dans la petite salle de la MC 2
et un plateau nu avaient pu se prêter parfaitement à Camus, http://blog-de-guy.blogspot.com/2015/09/letranger-jean-claude-gallotta.html je n’ai pas retrouvé la désinvolture, la
légèreté de Sagan et encore moins la mécanique de « Bonjour
tristesse » prétexte à cette heure de danse en manque de fluidité, semblant se chercher malgré les caractères forts d’une
brune et d’une blonde qui expriment davantage la douleur que l’insouciance ou les
émois de la jeunesse.
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