Hommage est rendu aux parents, aux inspirateurs, aux
fournisseurs de la cuisinière et journaliste lyonnaise d’origine arménienne
avec l’humour tendre de celui qui figurait depuis un moment dans ma liste de blogs préférés, mais qui
vient de l’abandonner au profit de Facebook.
Nous passons des plats les plus prestigieux tel « l’édredon
de Damien » dont la recette est détaillée parmi 27 autres
qui vont du limoncello - mais on ne trouve plus d’alcool à 95° dans les pharmacies-
au pan bagnat - tiens il faudra que je mette des grains de fenouil -
à « la soupe de pain de Marie Victorine » qui récupère les croûtes de pain noircies.
qui vont du limoncello - mais on ne trouve plus d’alcool à 95° dans les pharmacies-
au pan bagnat - tiens il faudra que je mette des grains de fenouil -
à « la soupe de pain de Marie Victorine » qui récupère les croûtes de pain noircies.
Les albums de Long se mettant en scène comme un lève tard
paresseux, maladroit, mais gourmand, magnifiant les plats les plus modestes, tout
en étant très pointu et exigeant sur certains produits, sont délicieux.
Ainsi je saurai la différence entre le zeste et le ziste du
citron qui est la partie blanche amère et si comme lui je ne suis pas très "désert" quant à leur confection, ces 118 pages ouvrent l’appétit sans que nos
faiblesses de gourmand soient punies.
Chaque page
se consomme sans modération, pour une fois que ce qui fait plaisir n'est pas puni.
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