« Bien sûr que
j'avais raison ! Les Grateful Dead, Polnareff, Bill Wyman des Stones, Pink
Floyd, Magma, Gong, qui peut faire mieux ? »
C'est l'histoire du destin de Michel Magne le propriétaire, cancre
irréductible qui composa plus de 70 musiques de films dans les années 60/70, se
maria avec la toute jeune baby-sitter de ses enfants, organisa des fêtes
somptueuses ; ruiné, il se suicida.
Il avait surmonté la destruction de ses bandes originales de
musique concrète et de variété.
Des photographies s’insèrent dans le récit dessiné
abondamment documenté pour mieux attester que ces rêves furent réalité, comme lors d’un concert gratuit de Grateful Dead au château
où :
« Le temps d'une
nuit, les paysans, les groupies, les pompiers, les dames du monde, tous unis
dans un grand moment de communion. Du luxe démocratique, du ciel bon marché, un
véritable paradis ! »
Oui, Grateful Dead... "Unbroken Chain" que j'ai écouté pendant des années. Un destin hors du commun que tu me fait découvrir, merci. Un moment où notre génération avait encore les étoiles dans les yeux ?
RépondreSupprimerJe ne connais pas le sort des membres du "Dead"... j'espère qu'ils ont échappé au prix à payer pour mettre les étoiles dans les yeux du peuple, même s'il y a quelques personnes, très fortes (et rares ?), qui parviennent à ne pas se faire manger par l'industrie du rêve.