Zidrou, le roi de la diversité scénaristique, réussit aussi bien dans le tendresse, la drôlerie, ou le tragique; son polar promet de l’originalité.
La variété de ceux qui l’ont mis en dessin s’étend ici magnifiquement avec Bonneau qui avait excellé dans « Ceux qui me
restent »
Mais l’éclat des aquarelles, la force des évocations
aquatiques font passer au second plan l’intrigue criminelle qu’ont à élucider
Light et Nutella, deux policiers désabusés.
La sobriété des dialogues n’épargne pas d’une certaine
grandiloquence dans les mots comme dans les panoramiques souvent
grandioses.
« La vie, c'est
comme la piscine.
Il y a toujours quelqu'un pour t'apprendre à nager.
Mais va t'en trouver quelqu'un pour t'apprendre à te noyer ! »
Il y a toujours quelqu'un pour t'apprendre à nager.
Mais va t'en trouver quelqu'un pour t'apprendre à te noyer ! »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire