mardi 22 janvier 2019

Le syndrome de Stendhal. Aurélie Herrou.

Un jeune homme hors du monde, il est duc, bien peu impliqué dans son mariage qui s’annonce, commence un nouvel emploi à Beaubourg comme gardien. Il  découvre l’art moderne.
Les BD, même en dehors des biographies d’artistes, affectionnent de traiter des enjeux, des plaisirs et des consolations que l’on trouve à fréquenter les œuvres d’art, d’autant plus que des musées sollicitent les auteurs pour fournir en produits dérivés les boutiques à la sortie des expos.
Le personnage principal est bien falot et ne s’anime que dans la danse avec claquettes, les propos concernant la création sont assez attrayants mais sans saveur excessive. Les dessins sont agréables et la reconnaissance de tableaux fameux toujours intéressante, quand ce n’est pas  vraiment désagréable de se sentir « happy few ». 120 pages qui se laissent lire.

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