lundi 28 octobre 2024

Sauvages. Claude Barras.

Nino 11 ans :
Le film Sauvages dénonce la déforestation de Bornéo pour planter des palmiers qui feront plus tard de l’huile de palme. Ce film m’a beaucoup touché et je me dis qu’il y a des gens qui coupent des arbres où habitent des orangs outans qui n’ont rien demandé et qui veulent juste vivre leur vie tranquillement. Le peuple nomade appelé Penan défend la jungle.
C’est décidé : JE NE MANGE PLUS DE NUTELLA !
Mon personnage préféré : Oshi le bébé orang-outang.
 
Pour les vacances d’automne - on ne dit plus vacances de Toussaint - le film d’animation recommandé cette année se déroule dans l’île de Bornéo où la forêt primaire est menacée.
La dénonciation de la perte de la biodiversité par le réalisateur d’ « Une vie de courgette » est bien sûr légitime, mais avec finesse, il va au-delà de l’interrogation facile : qui sont les sauvages ? 
Le méchant de l’histoire pose le problème de la responsabilité des consommateurs du monde avec de gentils autochtones non dépourvus de contradictions.
Presque tous les protagonistes ont de grands yeux attendrissants mais les rapports entre les personnages bien typés évoluent, les mentalités changent.
La chanson de Balavoine nous accompagne après une heure et demie de belles images. 
« Comme un fou va jeter à la mer
Des bouteilles vides et puis espère
Qu’on pourra lire à travers
SOS écrit avec de l’air
».

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