J’ai choisi de préférence, aux comédies près
de chez-nous proposées en ce moment, un film des contrées lointaines, pensant retrouver les délices d'une cérémonie du thé qui m’avait bien plu récemment http://blog-de-guy.blogspot.com/2020/09/dans-un-jardin-quon-dirait-eternel.html.
Chaque réalisateur a sa façon de voir mais
je confirme mon imperméabilité envers le coréen que j’avais trouvé déjà bien
vain dans un film de l’entre-soi
Le titre lui-même n’est même pas vérifié quand une jeune femme va chez ses copines dont on n’est pas sûr non
plus de leur proximité tant leur conversations sont vaines, dépourvues de
toute émotion, de tout intérêt.
Alors qu’un film lorsqu'il est réussi sait nous révéler
sous la banalité des mots ou des situations, la profondeur, l’ambigüité des
relations humaines, pendant une heure et quart nous attendons en vain. Les
hommes filmés de dos sont des intrus et vus méchants comme des coqs. Aucune subtilité
n’émerge de la lenteur et l’étrangeté des rapports entre ces femmes n’évoque
nullement l’universalité des délices de la sororité.
Ça a un charme désuet, "les délices de la sororité".
RépondreSupprimerCes derniers temps je n'ai pas eu beaucoup d'occasions de constater les délices de la sororité. Plutôt le contraire, même : les supplices de la sororité.
J'ai un faible pour les séries coréennes, mais triées sur le volet par ma fille chérie qui les choisit pour nous. Dans l'ensemble, les séries historiques.