mercredi 28 octobre 2020

Côte d’Azur 2020 # 4. Antibes.

Nous n’avons pas choisi de reprendre le chemin superbe longeant le cap d’Antibes
ni le musée Picasso 
Et si nous pensons à chaque fois à Nicolas de Staël 
nous avions envie de retourner voir des artistes exerçant actuellement, 
mais ils n’étaient pas là, ni l’asiatique qui modèle si finement l’argile,
ni l’anglaise enthousiaste du quartier des safraniers.
La ville est toujours aussi belle, mais en ce début d’été 20, la foule manque au pittoresque marché et quand les galeries sont ouvertes nous en arrivons à regretter le temps où nous étions loin d’être seuls.
Ah si, nous faisons affaire avec Papalia qui expose ses ferrailles et ses bois flottés à la Garoupe.
Phare, sémaphore y sont installés, le point de vue est magnifique.
A côté de la chapelle qui recèle quelques ex-votos caractéristiques, le « Bistrot du curé » propose des petits farcis excellents sous les pins (d’Alep).
Nous redescendons pour visiter le fort carré commencé sous Henri II et achevé bien sûr par Vauban. 
Depuis ce lieu qui permettait la surveillance de la frontière avec le Duché de Savoie,
le panorama est remarquable au dessus du port qui accueille le plus de bateaux de plaisance de toute la côte d’azur dans sa rade avec vue sur la Baie des anges, ses marinas sur fond de  cimes enneigées du Mercantour. La visite guidée est gratuite.

 

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