http://blog-de-guy.blogspot.com/2019/03/lacs-italiens-13-milano.html
dans la Via Radegondo (meat grill food) et rechargeons nos batteries (côte /escalope milanaise gigantesque = oreille d’éléphant, pâtes bolognaise ou aux champignons, salade) avant de poursuivre nos activités touristiques.
La façade de la Scala
nous déçoit, par contre la galleria
Vittorio Emanuele II, passage couvert monumental dont la verrière s’élève
à 50 m du
sol nous impressionne par sa majesté
imposante ;
elle abrite des magasins de marques prestigieuses :
Mont-Blanc, Prada, Versace…
Nous restons sur notre faim avec la visite du Museo del Novecento méritant 3 routards
pour le guide du même nom. L’architecture est intéressante, un accès moderne
ascendant en colimaçon rappelle en plus
modeste celui du quai Branly.
Il débouche sur la fameuse affiche du film 1900,
fresque du "Quarto stato de Giuseppe Pelizza da Volpedo".
Après la
collection Jucker rassemblant quelques tableaux de Picasso, Braque, Modigliani,
Matisse, Kandinsky,place aux futuristes dont Umberto Boccioni
puis on se trouve dans un espace consacré à Chirico,
un autre à Morandi (Bouteilles).
En bas, des expos temporaires se tournent plus vers
l’art contemporain. Dans la 1ère une artiste a façonné des mannequins sans tête vêtus de robe, en céramique, et des petits théâtres grossiers et
« funky ».
Dans la 2ème une rétrospective de Giosetta Fiorini montre ses différents styles (style diapo/négatif
intéressant, le reste, moins).
Il est temps de prendre le chemin du retour. Nous achetons
les billets de transport dans le métro où nous attendons qu’un guichet appelle
notre n°, puis muni d’un plan, nous embarquons vers la gare Garibaldi.
Nous
faisons deux rencontres intéressantes : l’une dans la rame avec une
Napolitaine chaleureuse qui interrompt sa conversation téléphonique pour
blaguer avec nous, l’autre à la gare Garibaldi, à l’extérieur avec une dame qui
s’approche pour nous proposer ses services en français alors qu’on cherche
notre voiture sur la carte. (Français impeccable et plaisir de le parler).
Nous finissons par retrouver la piazza A. Volta et la
voiture.
Nous renonçons pour aujourd’hui à la visite du cimetière à
cause de l’heure proche de la fermeture et à cause de notre fatigue.
Nous
rentrons assez rapidement sans bouchon à la Casa. J. remarque qu’il est encore
tôt (18h30), aussi après avoir garé Clio devant l’appartement, nous nous
attablons devant le bar « La botte » pour apprécier la douceur de
l’heure et la tranquillité du lac avec un spritz et ses petits amuse-gueule
toujours servis avec une boisson (salami, chips et cahouettes). Nous profitons du miroir d’eau, de l’espace balnéaire et soigné mi pelouse mi planches en plastique, investi par les amateurs de bronzette avant de monter chez nous.
A peine la porte passée, Pietro, notre logeur, vient aux nouvelles à propos
des fourmis envahissantes, bien affaiblies par des coups d’insecticide.
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