Comme le dit le slogan du syndicat d’initiative, Nîmes, « la ville avec un accent », est effectivement un lieu où l’art a droit de cité.
Son histoire vient de si loin : le crocodile, emblème bien connu des nostalgiques de l’équipe des années soixante de Kader Firoud, enchaîné à un palmier, date des monnaies frappées par Auguste vainqueur en Egypte.
Le pont du Gard (1° siècle) à proximité, aqueduc sur le Gardon, garde la majesté des années impériales. L’opportunité de le voir depuis la garrigue noire de nuit dans un habillage spectaculaire de lumières inédites m’a enchanté.
En face de la maison carrée temple romain rectangulaire de deux mille ans d’âge, Le Carré d’art, accueille des expositions d’art contemporain et comporte une collection permanente fort pédagogique. Depuis ce lieu lumineux, la vue est magnifique sur la ville et l’antique siège des consuls.
Arroyo, de l’école de la figuration narrative, est dans la place avec un Robinson Crusoë, Villegié et ses affiches décollées, une compression de César, Sophie Calle expose sa série des dormeurs. Niki de Saint Phale et d’autres me sont devenus accessibles et je reviens volontiers en ces lieux, je révise, découvre, réévalue.
Chaque année se tient Artnim une foire d’art contemporain qui rassemble 400 artistes par l’intermédiaire d’une quarantaine de galeries, et comme mon institution préférée le MIAM (musée international des arts modestes) était invitée je me trouvais vraiment en terrain familier.
Les plus fameux, Combas, Rebeyrolle, Chaissac, étaient là. Et j’ai mis un nom sur des œuvres entrevues :
le photographe Witkin : dérangeant,
Guy Brunet : du beau travail,
Amanda Brown : dynamique,
et David Gerstein : rafraîchissant.
L’ami qui nous avait invité à cette visite nous a fait découvrir les travaux de Mohamed Lekleti. Ses corps tourmentés se figent, leur chute est suspendue, leurs lignes inattendues pourront-elles inventer d’autres issues à la fatalité ?
mercredi 4 janvier 2012
mardi 3 janvier 2012
Enfances. Sempé.
Le seul excès que je me suis permis lors de ces fêtes, fut d’avoir épuisé un de mes cadeaux rituel en une seule fois, après m’être promis pourtant d’en garder pour le lendemain. Et j’y reviendrai.
Où il ressort que Sempé n’a pas eu d’enfance, alors il dit :
«Il m'est arrivé de devenir, par moments, raisonnable mais jamais adulte»,
et cite : « un animal inconsolable et gai ».
Sans rancune à l’égard de ses parents pourtant violents, il est le meilleur interprète de la douceur, de l’innocence des années d’enfance.
Nous nous en emparons avec une nostalgie sans vergogne.
Il atteint l’universel hors d’âge, parce qu’il a si bien inventé, sublimé, depuis ses expériences tragiques du genre : « Approche un peu que je te donne une gifle et le mur t’en donnera une autre. » La résilience.
Son premier dessin : un chien dort dans la casserole qu’on lui a attachée à la queue.
Dans son dialogue avec Marc Lecarpentier, il fait l’éloge de la radio, du mensonge et conte quelques histoires émouvantes. De toutes façons, il dessine un oiseau qui marche sur un fil comme un funambule et je suis ravi, c’est tellement fin.
C’est l’époque, qui était déjà démodée quand est apparu le Petit Nicolas - donc indémodable- des enfants en culottes courtes qui vont chercher les confitures en haut de l’armoire, où les garçons glissent sur les rampes d’escalier et tirent les sonnettes.
Les adultes sont si fragiles face à la nature, aux grands immeubles, à leurs rêves, alors les petits face à l’Océan gardant leur châteaux de sable, comme ils sont courageux!
Il est sévère à l’égard d’un de ses dessins, qu’il trouve trop facile, quand le petit garçon annonce, à ses parents tournés vers la télévision : « je marche ».
J’ai découvert une aquarelle que ne n’avais jamais vue et qui m’a touché : des adultes discutent autour de la table, l’enfant depuis sa chambre est le seul à voir les prémisses de l’orage d’une fin d’été qui renverse les chaises longues et fait s’envoler les feuilles d’un journal.
Pourtant bien des scènes parlent de l’insouciance, de jeux, avec des mots en voie de disparition qui viennent : espiègle, candide, heureux.
J’aime toujours ses images légères de bords de mer, de salles de danse, où les têtes dépassent à peine des herbes, éternelles, familières avec des variantes, alors je suis content.
Où il ressort que Sempé n’a pas eu d’enfance, alors il dit :
«Il m'est arrivé de devenir, par moments, raisonnable mais jamais adulte»,
et cite : « un animal inconsolable et gai ».
Sans rancune à l’égard de ses parents pourtant violents, il est le meilleur interprète de la douceur, de l’innocence des années d’enfance.
Nous nous en emparons avec une nostalgie sans vergogne.
Il atteint l’universel hors d’âge, parce qu’il a si bien inventé, sublimé, depuis ses expériences tragiques du genre : « Approche un peu que je te donne une gifle et le mur t’en donnera une autre. » La résilience.
Son premier dessin : un chien dort dans la casserole qu’on lui a attachée à la queue.
Dans son dialogue avec Marc Lecarpentier, il fait l’éloge de la radio, du mensonge et conte quelques histoires émouvantes. De toutes façons, il dessine un oiseau qui marche sur un fil comme un funambule et je suis ravi, c’est tellement fin.
C’est l’époque, qui était déjà démodée quand est apparu le Petit Nicolas - donc indémodable- des enfants en culottes courtes qui vont chercher les confitures en haut de l’armoire, où les garçons glissent sur les rampes d’escalier et tirent les sonnettes.
Les adultes sont si fragiles face à la nature, aux grands immeubles, à leurs rêves, alors les petits face à l’Océan gardant leur châteaux de sable, comme ils sont courageux!
Il est sévère à l’égard d’un de ses dessins, qu’il trouve trop facile, quand le petit garçon annonce, à ses parents tournés vers la télévision : « je marche ».
J’ai découvert une aquarelle que ne n’avais jamais vue et qui m’a touché : des adultes discutent autour de la table, l’enfant depuis sa chambre est le seul à voir les prémisses de l’orage d’une fin d’été qui renverse les chaises longues et fait s’envoler les feuilles d’un journal.
Pourtant bien des scènes parlent de l’insouciance, de jeux, avec des mots en voie de disparition qui viennent : espiègle, candide, heureux.
J’aime toujours ses images légères de bords de mer, de salles de danse, où les têtes dépassent à peine des herbes, éternelles, familières avec des variantes, alors je suis content.
lundi 2 janvier 2012
Shame. Steve McQueen.
Nous sommes dans un autre siècle, un autre continent que « L’homme qui aimait les femmes » de François Truffaut. Ultra moderne solitude. « Sex addict » à ce qu’on dit et « chair triste ».
Dans sa course au sexe, Michael Fassbender reste insatisfait, pourtant il ne laisse pas les femmes indifférentes, et bien qu’il se mette tout nu, il se cache. Froid pour un sujet qui pouvait être hot, filmé proprement, accompagné de musiques envoutantes, le riche jeune homme reste une énigme y compris pour lui-même. Il aura beau faire le ménage de ses images dans ses tiroirs, son ordi aura beau être nettoyé, sa sœur aura beau apporter quelques éléments à son histoire avec virulence, il ne fait qu’illustrer la vieille blague qui promettait la surdité à celui qui abusait de la masturbation.
Il se retrouve démuni jusqu’à l’impuissance lorsqu’il doit mener une relation qui passe par les sentiments, dans la scène du restaurant, où les acteurs s’en donnent « à cœur joie ».
La distance mise par le cinéaste permet les interrogations, une autre séquence de course dans les rues de New York en pleine nuit m’a parue remarquable, nous entrainant par l’énergie de sa beauté contemporaine avec Bach en fond.
Dans sa course au sexe, Michael Fassbender reste insatisfait, pourtant il ne laisse pas les femmes indifférentes, et bien qu’il se mette tout nu, il se cache. Froid pour un sujet qui pouvait être hot, filmé proprement, accompagné de musiques envoutantes, le riche jeune homme reste une énigme y compris pour lui-même. Il aura beau faire le ménage de ses images dans ses tiroirs, son ordi aura beau être nettoyé, sa sœur aura beau apporter quelques éléments à son histoire avec virulence, il ne fait qu’illustrer la vieille blague qui promettait la surdité à celui qui abusait de la masturbation.
Il se retrouve démuni jusqu’à l’impuissance lorsqu’il doit mener une relation qui passe par les sentiments, dans la scène du restaurant, où les acteurs s’en donnent « à cœur joie ».
La distance mise par le cinéaste permet les interrogations, une autre séquence de course dans les rues de New York en pleine nuit m’a parue remarquable, nous entrainant par l’énergie de sa beauté contemporaine avec Bach en fond.
dimanche 1 janvier 2012
Année nouvelle
J’extrais d’un poème d’Emile Verhaeren pris dans l’inépuisable recueil d’Albine Novarino "366 jours de poésie"
pour l’année qui s’en va :
« Dites, l’entendez- vous venir au son des glas,
Venir du fond des infinis là-bas,
La vieille et morne destinée ?
Celle qui jette immensément au tas
Des siècles vieux, des siècles las,
Comme un sac de bois mort, l’année. »
Et de Luce Guilbaud pour l’année qui vient :
« Année nouvelle
donne-moi les fruits d’or
dont chaque graine
égrène les notes
qui chantent la douceur
d’aimer en arpège
jusqu’aux montagnes bleues
derrière l’horizon. »
pour l’année qui s’en va :
« Dites, l’entendez- vous venir au son des glas,
Venir du fond des infinis là-bas,
La vieille et morne destinée ?
Celle qui jette immensément au tas
Des siècles vieux, des siècles las,
Comme un sac de bois mort, l’année. »
Et de Luce Guilbaud pour l’année qui vient :
« Année nouvelle
donne-moi les fruits d’or
dont chaque graine
égrène les notes
qui chantent la douceur
d’aimer en arpège
jusqu’aux montagnes bleues
derrière l’horizon. »
samedi 31 décembre 2011
Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire. Jonas Jonasson.
Pour éviter les réjouissances à l’occasion de son 100° anniversaire, un alerte vieillard s’échappe de la maison de retraite.
Pas question pour lui de se reposer, car les rebondissements s’enchainent, les cadavres s’accumulent à la suite d’une valise dont il prend possession fortuitement.
Le ton est alerte dans ce le livre que les mensonges structurent.
«Le jeune homme décida subitement de renouer avec ses bonnes vieilles habitudes et de se servir d’un pied-de- biche pour avancer l’heure d’ouverture du bar-tabac. »
L’ambiance nordique convoque inévitablement Paasilinna le grand, mais le retour sur le passé du héros traine en longueur, forcément. Même si ses rencontres avec Franco, Truman, Mao, Staline… et les façons de passer de l’un à l’autre sont divertissantes, un peu de lassitude s’installe malgré quelques explosions.
Ce livre offert bien sûr pour mon anniversaire vaut pour son titre, il aurait gagné à perdre quelques pages sur les 454 qu’il comporte.
« Suharto… s’attaqua aux communistes, à ceux qui étaient soupçonnés d’être communistes, aux peut être communistes, à ceux qui étaient sûrement sur le point de le devenir, et à quelques innocents. En très peu de temps, il avait fait tuer entre deux cent mille et deux millions de personnes. Les chiffres n’étaient pas très précis, car beaucoup d’individus d’origine chinoise furent tout simplement expulsés d’Indonésie avec l’étiquette de communistes et durent se réfugier en Chine où ils furent traités de capitalistes. »
Pas question pour lui de se reposer, car les rebondissements s’enchainent, les cadavres s’accumulent à la suite d’une valise dont il prend possession fortuitement.
Le ton est alerte dans ce le livre que les mensonges structurent.
«Le jeune homme décida subitement de renouer avec ses bonnes vieilles habitudes et de se servir d’un pied-de- biche pour avancer l’heure d’ouverture du bar-tabac. »
L’ambiance nordique convoque inévitablement Paasilinna le grand, mais le retour sur le passé du héros traine en longueur, forcément. Même si ses rencontres avec Franco, Truman, Mao, Staline… et les façons de passer de l’un à l’autre sont divertissantes, un peu de lassitude s’installe malgré quelques explosions.
Ce livre offert bien sûr pour mon anniversaire vaut pour son titre, il aurait gagné à perdre quelques pages sur les 454 qu’il comporte.
« Suharto… s’attaqua aux communistes, à ceux qui étaient soupçonnés d’être communistes, aux peut être communistes, à ceux qui étaient sûrement sur le point de le devenir, et à quelques innocents. En très peu de temps, il avait fait tuer entre deux cent mille et deux millions de personnes. Les chiffres n’étaient pas très précis, car beaucoup d’individus d’origine chinoise furent tout simplement expulsés d’Indonésie avec l’étiquette de communistes et durent se réfugier en Chine où ils furent traités de capitalistes. »
vendredi 30 décembre 2011
Influence, argent, élections : qui détient le pouvoir ?
Au pays de la République des idées où il s’agit de reformuler quelques « exigences universelles face aux images de la décomposition de la vie politique », ce sujet me paraissait central.
Gérard Courtois (Le Monde) dirigeait la discussion entre Pierre Lascoumes (sociologue), William Bourdon (avocat) et Guillaume Courty (politiste).
La réglementation visant à contrôler les financements des partis politiques est exemplaire en France, le problème c’est l’application élastique entretenant le soupçon de 2 français sur 3 qui pensent que les politiques sont corrompus. Notre croyance est également molle concernant la défense de l’intérêt général par nos élus et ceux qui les entourent en staffs dans les cabinets.
De la même façon que la prohibition a fait la fortune de la maffia, la loi a produit des financements parallèles. Pour la contourner le nombre des micros partis a été multiplié par 10. Les commissions multiples annoncées depuis 1988 pour moraliser la vie politique n’ont pas de pouvoir de vérification des déclarations des messieurs qui nous gouvernent, encore moins le pouvoir de sanction. Des organismes consultatifs tels que ceux qui travaillaient derrière la façade désuète du Plan ont été démantelés.
Dans le domaine de l’énergie, des armes, des télécommunications … les marchés donnent droit à des rétros commissions via le Luxembourg, la City, les îles anglo normandes.
Ces zones grises sont assombries par nos méconnaissances, nos fantasmes : oui la politique a un prix.
Aux Etats-Unis, donner pour les élections peut s’assimiler à une offrande rituelle aux dieux sur un autel style époque romaine, à un cadeau à une maîtresse (celle de l’école) : il n’y pas de retour sur investissement, nous a-t-on dit.
Cette déploration face au lobbying peut paraître comme un prétexte pour masquer la déresponsabilisation des élus. Sur ce plan là aussi, la financiarisation de l’économie sécrète ses virus antidémocratiques, les juges sont mis en échec par la mondialisation. L’argent sale engraisse et va se caser du côté de Pékin.
Revient le nom de Woerth comme un hoquet de dégout dans les circuits qui pourrissent notre époque quand l’appartenance à un cabinet ministériel n’est plus un honneur de servir la collectivité mais une étape pour s’enrichir. L’état se privatise, c’est le règne de la connivence, de la consanguinité. Avec le cumul des responsabilités, les règles s’accommodent dans les cercles du pouvoir où grenouillent les médias complices.
......
Cette semaine dessin de Libé
Gérard Courtois (Le Monde) dirigeait la discussion entre Pierre Lascoumes (sociologue), William Bourdon (avocat) et Guillaume Courty (politiste).
La réglementation visant à contrôler les financements des partis politiques est exemplaire en France, le problème c’est l’application élastique entretenant le soupçon de 2 français sur 3 qui pensent que les politiques sont corrompus. Notre croyance est également molle concernant la défense de l’intérêt général par nos élus et ceux qui les entourent en staffs dans les cabinets.
De la même façon que la prohibition a fait la fortune de la maffia, la loi a produit des financements parallèles. Pour la contourner le nombre des micros partis a été multiplié par 10. Les commissions multiples annoncées depuis 1988 pour moraliser la vie politique n’ont pas de pouvoir de vérification des déclarations des messieurs qui nous gouvernent, encore moins le pouvoir de sanction. Des organismes consultatifs tels que ceux qui travaillaient derrière la façade désuète du Plan ont été démantelés.
Dans le domaine de l’énergie, des armes, des télécommunications … les marchés donnent droit à des rétros commissions via le Luxembourg, la City, les îles anglo normandes.
Ces zones grises sont assombries par nos méconnaissances, nos fantasmes : oui la politique a un prix.
Aux Etats-Unis, donner pour les élections peut s’assimiler à une offrande rituelle aux dieux sur un autel style époque romaine, à un cadeau à une maîtresse (celle de l’école) : il n’y pas de retour sur investissement, nous a-t-on dit.
Cette déploration face au lobbying peut paraître comme un prétexte pour masquer la déresponsabilisation des élus. Sur ce plan là aussi, la financiarisation de l’économie sécrète ses virus antidémocratiques, les juges sont mis en échec par la mondialisation. L’argent sale engraisse et va se caser du côté de Pékin.
Revient le nom de Woerth comme un hoquet de dégout dans les circuits qui pourrissent notre époque quand l’appartenance à un cabinet ministériel n’est plus un honneur de servir la collectivité mais une étape pour s’enrichir. L’état se privatise, c’est le règne de la connivence, de la consanguinité. Avec le cumul des responsabilités, les règles s’accommodent dans les cercles du pouvoir où grenouillent les médias complices.
......
Cette semaine dessin de Libé
jeudi 29 décembre 2011
Stéphane Cerutti. « Roues libres »
Jusqu’au 17 décembre la galerie Alter Art présente, rue Saint Laurent, de drôles d’engins drôles aux vives couleurs, ludiques et poétiques. Des formes aux airs de Niky de Saint Phalle à mettre entre toutes les mains.
Les enfants peuvent aimer faire tourner les rouages pour produire quelques sons, inventer d’autres choix à la télévision et les amoureux de Peynet peuvent tester l’intensité de leurs sentiments. « Savoir qui croire ». Les cartels ne se prennent pas la tête : « heureux qui comme hélice » et les pieds après un 1km « s’amusent ».
C’est « un bamboulot » et « il n’en a pas trophée ».
Ces jouets avec leurs airs de bande dessinée permettent de réserver l’interrogation sur le temps qui passe à ceux que Noël remplit plus de nostalgie que d’espérance.
Les enfants peuvent aimer faire tourner les rouages pour produire quelques sons, inventer d’autres choix à la télévision et les amoureux de Peynet peuvent tester l’intensité de leurs sentiments. « Savoir qui croire ». Les cartels ne se prennent pas la tête : « heureux qui comme hélice » et les pieds après un 1km « s’amusent ».
C’est « un bamboulot » et « il n’en a pas trophée ».
Ces jouets avec leurs airs de bande dessinée permettent de réserver l’interrogation sur le temps qui passe à ceux que Noël remplit plus de nostalgie que d’espérance.
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