des lettres s’échangent :
« Vous qui passez
devant cet immeuble, ayez une pensée pour Frédéric.
Il est mort pour vous.
Le 21 août 1943. Il avait 19 ans.
C'était mon meilleur
ami.
Il voulait faire le
tour du monde après la guerre.Il n'a pas pu. »
De brefs échanges rassemblés en 126 pages témoignent d’une
mémoire réinvestie par les passants avec des évocations de personnages qui
laissent à leur tour une trace respectable.
Ne sont pas ignorés quelques messages témoignant d’autres
préoccupations :
«S’il vous
plaît, qu’est-ce que je fais de toutes ces fleurs, moi maintenant ?
Et bravo pour les
bougies, ça dégouline de partout.
La gardienne du 149. »
L'idée est sympathique. Merci.
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