Gratuit le dimanche matin, le musée installé dans l’hôtel particulier légué à la ville par le marbrier Jules Cantini propose en permanence quelques belles toiles de Derain, Camoin, Dufy, Gleizes, Léger, Brauner, Ernst, Miró, Picasso, Bacon…
Et jusqu’en janvier 2014, César, le ferrailleur se retrouve chez le marbrier avec ses objets
compressés et ses expansions.
"Le marbre de Carrare était trop cher, la vieille
ferraille traînait partout.
Je suis devenu
sculpteur parce que j'étais pauvre !"
L’autodidacte né dans le quartier de la Belle de Mai dont les voitures compressées furent l’emblème, a multiplié les matériaux avec le polyuréthane aux coulées figées, a posé dans les villes des pouces réjouissants d’un humanisme bon enfant.
Ses interrogations autour de la société de consommation ont
une connotation années 60, quand l’art s’adressait à tout le monde.
«Ce sont mes mains qui font travailler
ma tête »
C'est où, ce musée, Guy ?
RépondreSupprimerJe ne comprends pas.
Merci.
à Marseille.
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