Les psys et les putes font le même travail.
Une seule idée mais étirée pour un scénario manquant pour le coup de profondeur psychologique.
Il y a bien quelques scènes cocasses comme le travesti sur le divan avec un jeu de mots entre « Pouah » et « poids » mais tout cela n’en fait qu’un petit film pas désagréable mais un peu vain.
Le psychanalyste n’avait pas besoin de sexe et la prostituée pas de nécessité à se prendre la tête.
Hupper is down, et comme elle le dit « là, ça commence à devenir limite ».
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