Les dessins charbonneux, comme il se doit, ne sont pas en
cohérence avec des archétypes qui pourraient convenir à une bande dessinée à
prétention comique: gynécologue et club de rencontre.
La raideur des traits n’arrange rien et je n’ai pas été
saisi d’une quelconque sympathie pour les personnages, ni séduit par la
fantaisie de l’intrigue, pas plus que par une chronique des mœurs forcément
provinciales.
« - Jusqu’où
iriez-vous par amour ?
- Jusqu’au bout. »
L’argument sensé lancer l’action est bateau et ce qui en
découle, sans intérêt.
La couverture laissait entrevoir du noir, mais je n’ai pas
connu l’ombre d’un frisson.
Bon j’arrête, cet album de 120 pages est bien loin des
chroniques touristiques originales de l’auteur :
http://blog-de-guy.blogspot.com/2017/06/vertiges-de-quito-didier-tronchet.html
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