mardi 24 avril 2018

Filles des oiseaux 2. Florence Cestac.

J’ai beau les connaître par cœur les soixante huitardes, elles me font toujours sourire, et  pour la Cestac, je me mettrais même à m’habituer à ses gros nez.
50 pages simples et efficaces, c’était tout à fait ça :
rigolo et pathétique, comme ce  conformisme des anti-conformistes
« - C’était des spectacles insolites, très dépouillés, très longs, que si tu les ratais t’étais un naze.
 - Du théâtre du soleil, très cosmopolite, très populaire, très partageur et très engagé.
Que si tu n’avais pas partagé la soupe avec eux, t’étais un perdu de la vie.
- Du rock, du pop rock, du hard rock, du funk, du reggae, du black métal…
Que si tu n’avais pas vu le concert de machin, il vaut mieux en finir… »
Une des deux copines du pensionnat des oiseaux, a suivi un glandeur magnifique en Angleterre et l’autre s’est lancée dans les choux à la crème avec Benoît, mais leurs couples ont  foiré et après des années d’ivresse elles se sont retrouvées mamans, pas si loin des attitudes de leurs propres parents qu’elles ne supportaient plus.
Les fous rires demeurent et les BD au loin les suivent.

1 commentaire:

  1. Hier j'ai sorti mon exemplaire de "Le Manoir" d'Isaac Bashevis Singer sur l'époque de 1860 et quelques, en Pologne, au moment où la Russie détruit l'aristocratie polonaise et le monde se délite là bas, et... c'est la même chose, avec quelques variations.
    Je ne sais pas si ça doit me rassurer, m'inquiéter, me faire rire ou pleurer...
    Mais je n'aime toujours pas la grande majorité des dessins de la BD.

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