« Le mot pique-nique porte, déjà dans sa pimpante sonorité pendulaire, la notion de partage. »
Bien vu, dans la brève introduction avant des photographies à foison quand s’étira sur le méridien de Paris la nappe à carreaux de « l’incroyable pique-nique », c’était en 2000.
De Dunkerque à Prats de Mollo, à travers 337 communes, 35 photographes font valoir leurs différences :
cocasses, poétiques, inventifs, mélancoliques, poignants, coquins, graphiques, humains.
Gobelets en plastiques, orchestres sans public, terrains abandonnés et même sous la pluie qui s’était invitée ce jour là, un sourire, « à la queue leue ! Ha ha…», la fumée des merguez chasse les nuages.
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