La terra y la sombra.
Une maison aux volets fermés au milieu des champs de canne à
sucre boliviens.
Le rythme lent convient bien pour accompagner la fin de vie
d’un travailleur épuisé par le travail.
Son père revient l’assister, lui qui est parti loin depuis
des années.
Sous ses allures de macho latino, il va à l’encontre du
cliché et se fait tout doux avec son ancienne épouse, restée sur ses terres et
avec son petit fils qu’il initie aux chants d’oiseaux.
L’entreprise qui emploie aussi cette vieille femme et sa belle fille est intraitable et
surexploite les coupeurs de canne.
Etouffant et fort.
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