... comme si c’était utile de préciser, ce titre "inspiré de faits réels", trahit le
manque de confiance envers l’auditeur qui ne croirait plus en l’accrochage au
réel. Pourtant c’est toujours le cas : le Renaud du XXI° (siècle) est en
forme : genre texte en anglais Remember
Paris pour lequel I understand enfin tout, ou bien dans la déconnade avec Gilles César dont le pote Henri Potter
sera témoin de son mariage avec une certaine Marilyn Moreau.
Tout se saisit à la première écoute aux mélodies plaisantes
avec de petites surprises au bout des historiettes :
Coming in à
l’humour convenable :
« Un mec, c’est
plus honnête
Plus intelligent aussi
Le seul problème en fait
C’est que c’est moins joli. »
Plus intelligent aussi
Le seul problème en fait
C’est que c’est moins joli. »
Une lui en fait voir de toutes Les couleurs, quand elle passe au jaune :
« Jaune comme son
rire un peu gêné
Week end pluvieux, jaune le cirée
Une plage du nord il n'y avait pas foule,
Week end pluvieux, jaune le cirée
Une plage du nord il n'y avait pas foule,
Les pieds mouillés le
chien maboule »
Chronique des amours contemporaines : Le regard romantique de l’aimée traverse les années, et celui de la
belle qui le sait croise un couple dont l’homme se crame Sur son passage. La
Grande vie quand son bouquet ne trouve pas
preneuse ne vaut pas les Bonbons de Brel mais bon… et Les deux chiens cessent de se combattre en tuant un chat arrivent à " la morale qui fout le moral en l’air".
Mais Titouan est bien à lui quand le papa
paumé n’a rien vu arriver lors de sa séparation et entrecoupe ses regrets de rappels très terre à terre à son fils.
« J’arrive pas à
tourner la page
Titouan, n’enlève pas tes chaussures
Eux, ils parlent déjà de mariage
Titouan, remets tes chaussures ! »
Titouan, n’enlève pas tes chaussures
Eux, ils parlent déjà de mariage
Titouan, remets tes chaussures ! »
Après une virée entrainante dans Le Paris by night, jazzy, dont « on regrettera seulement ce dont on se
souvient », il peut se permettre la noirceur de La forêt, où personne ne le cherche.
« Parmi ce peuple
indifférent
D’arbres, de feuilles, de vent
J’avais perdu ma propre trace
Depuis je sais que quoi que je fasse »
D’arbres, de feuilles, de vent
J’avais perdu ma propre trace
Depuis je sais que quoi que je fasse »
Les squares, c’est mieux.
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