mardi 9 octobre 2012

Icarus. Manuele Fior.



Le trait de pinceau est toujours aussi élégant et les touches de rouge à la craie, d’où ressort la trame du papier, raffinées.
Cependant je n’ai pas pris le même plaisir que pour son album « Cinq mille kilomètres par seconde »  aux aquarelles plus chaleureuses.
Dans celui-ci nous sommes au pays des mythes : Icare et Faust- rien que ceux là- finissent par se rencontrer au-delà du temps et de l’espace.
Arides, dépouillées,  les pages sont agréables à feuilleter.
Les dialogues sont laconiques alors  je me suis raccroché à ce que je savais mais n’ai pas saisi l’apport de cette relecture de l’utopie solaire sortant du labyrinthe, ni celle du diabolique à consoler.

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