lundi 1 octobre 2012

Drive. Nicolas Winfing Refn



En sortant de ce film de voitures, j’ai bien respecté les limitations de vitesse, c’est que l’argument vendeur pourtant travaillé m’a laissé aussi indifférent que l’acteur principal qui tient le volant mais subit sa vie.  Alors, il fait le malin et va sombrer dans une violence qu’il ignorait auparavant.
Nous sommes à Los Angeles. Certes la musique est électrique. Mais à relire les commentaires majoritairement élogieux je n’arrive pas à voir ce qu’il y a de vraiment nouveau dans cette histoire en milieu urbain, où les mots sont en voie de disparition, où  la gazoline ne s’économise pas.
Pas plus que les westerns ne se sont démodés  parce que désormais les chevaux ne tournent plus que dans les manèges, la présence forte des véhicules à moteur ne présage de l’avenir de certains films, celui-ci deviendra peut être culte quand les engins électriques ne feront plus crisser les pneus.

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