
Sur cette île charmante aux grandes allées d’eucalyptus, aux criques familiales, les bâtiments militaires perdent de leur rudesse avec les pensionnaires des centres de loisirs, affairés à des ateliers de théâtre, de peinture, à des parties de basket. Dans des cellules du fort royal, l’artiste peintre a accroché ses immenses toiles rappelant qu’une partie de la suite d’Abdel Kader fut enfermée là, et le masque de fer. Par les ouvertures dans les murailles à l’épaisseur impressionnante, cinq rangées de barreaux laissent cependant passer une lumière suffisante pour les chevaux vigoureux, les femmes rêvées, de l’artiste qui s’est mis dans la peau des reclus. Nous repartons avec des images fortes d’une méditerranée qui sous son bleu immuable recouvre des pierres de souffrance.
ah! les beaux yeux bleus !
RépondreSupprimeren fait les hommes voilés ne manquent pas de charme
Je me suis permis de reproduire, en citant la source, bien sur, cet article dans un site que j'administre.
RépondreSupprimerJ'espère que cela ne pose pas problème.
Adresse du site :
http://occfal.forumactif.com
Amicalement
Occ
J'aime beaucoup ce blog. Mais, quel est le titre de ce charmant tableau ?
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