Sautillant, le jeune homme est parfait pour accompagner une matinée de printemps.
Il nous conte des histoires de tendresse, même s’il n’est pas très crédible avec sa voix juvénile en « Repenti ». Par contre il est charmant dans les « Voisines » et dans « La lettre », s’inscrivant dans la tradition d’un Renaud décoléré, sans parigotisme, il renouvelle le stock des trousseurs de rimes, boucleurs de courts métrages à la patte fraîche.
« Cherche regard neuf sur les choses
Cherche iris qui n'a pas vu la rose
Je veux brûler encore une fois
Au brasier des premières fois
Mais j'ai croisé sur mon chemin
Deux grands yeux bleus, deux blanches mains
Ses menottes ont pris mes poignets
Et ce sont ses yeux qui m'ont soigné »
Ouais ... J'aime bien moi aussi Renan Luce et Les Voisines.
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