Dans le livre « 366 jours de poésie » chez Omnibus, à la date d’hier, Verlaine :
« L’espoir luit comme un brin de paille dans l’étable,
Que crains-tu de la guêpe ivre de son vol fou ?
Vois, le soleil poudroie à quelque trou,
Que ne t’endormais-tu, le coude sur la table ? »
Un brin de paille.
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