Employé en France à la réfection d’un
pavillon, le maçon va nouer une relation avec Emmanuelle Devos, la
propriétaire, au moment où elle est en train de se libérer de son connard de
mari. Coïncidence des solitudes, cette parenthèse sensuelle est empreinte de
respect, de douceur.
Le réalisateur de « Fatima » est juste http://blog-de-guy.blogspot.fr/2015/10/fatima-philippe-faucon.html, même si quelques traits sont surlignés, l’infirmière se définissant d’emblée comme peu reconnue. Le travail au noir évoqué pour un autre immigré n’est pas non plus exclusivement de la faute d’une entité extérieure qui s’appellerait « société » alors qu’il arrange à court terme employé et employeur.
Le réalisateur de « Fatima » est juste http://blog-de-guy.blogspot.fr/2015/10/fatima-philippe-faucon.html, même si quelques traits sont surlignés, l’infirmière se définissant d’emblée comme peu reconnue. Le travail au noir évoqué pour un autre immigré n’est pas non plus exclusivement de la faute d’une entité extérieure qui s’appellerait « société » alors qu’il arrange à court terme employé et employeur.
Les séquences se déroulant en Afrique m’ont
parues plus nuancées, plus neuves. Les corps noirs faisant l’amour sont rares
au cinéma et ils sont bien beaux. Les pressions communautaires mises en lumière
montrent la montée de l’islamisme, mais les femmes africaines assurent, elles
sont bien là et ne comptent pas se laisser faire.
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