mercredi 16 février 2011

Touristes en chine 2007. # J 6. Kung fu.

Nuit avec moustique bourdonnant et panne de l’air conditionné. Petit déjeuner abondant dans un compartiment de l’immense salle du restaurant. Nous sommes servis à table : tomates, concombres, œufs frits, toasts, vegetables, bacon, lardons, frites, pain perdu…beurre et confiture. Stop !
Visite du temple Putuozongscheng réplique du Potala de Lhassa avec madame Xu. Palais blanc et rouge. Les fenêtres extérieures sont obstruées comme au Tibet pour éviter les vents froids. La lumière arrive par le toit et les cours intérieures, beaucoup d’escaliers permettent la vue sur la montagne, la muraille du palais d’été et le temple.Pour s’octroyer les bienfaits de bouddha, il faut payer. La grande cour carrée rouge est sur 3 étages avec galerie et bâtiment principal comportant des tuiles écailles vernissées et dorées. Depuis une estrade, nous assistons à des danses et chants traditionnels jusqu’à 11h comme pour les anniversaires de l’empereur. Nous payons chacun 1Y pour un coup de cloche.
Anmanipaniron = bonjour bouddha. Xu a le français un peu moins coincé et le rire plus naturel. Retour à l’hôtel pour retrouver Diane puis route vers Pékin (4h 30 de voyage prévues). Notre chauffeur double à droite, à gauche ou se fait doubler de même pendant que ceux d’en face slaloment tout autant ! Il vaut mieux dormir.
Repas dans un salon particulier d’un routier avec table à plateau tournant. On mange bien mais dans les toilettes les utilisateurs ne jugent pas toujours utile de fermer les portes. Retour au Red Wall Hôtel et ses chambres nickel.Spectacle de Kung fu au... Kung fu theater : il raconte une histoire avec quelques cartels en chinois et en anglais : la chorégraphie est soignée et les bagarres stylisées avec quelques cris genre « arrête de crier, je ne vois plus le match de tennis », scènes de casse de bâtons de bois ou de métal sur la tête, le héros se couche sur des coutelas, met un sommier de piques sur son ventre qui supporte un autre danseur allongé. A la sortie W.H. nous retrouve et nous offre une bouteille d’alcool de riz, suite aux discussions que nous avons eues. Nous l’abandonnons à une entrée de métro, elle en a pour une heure et demie avant d’arriver chez elle. Repas à notre restau d’à côté avec marmites bloubloutantes, promenade digestive et hôtel. Quand W.H. ne peut décrypter les pictogrammes qu’elle ne connaît pas, elle dit : « c’est mal écrit, je ne peux pas lire » Elle nous fournit les timbres pour les 55 cartes postales.

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