J’avais beaucoup aimé deux films précédents du réalisateur Ceylan : « Usak », « les climats ». Toutes les conditions étaient réunies pour présenter un film convaincant : des acteurs denses, le thème du pouvoir et du mensonge, une esthétique forte, mais la lenteur devient un système qui ne convient peut être pas à ce genre de film. Ce prix de la mise en scène à Cannes m’a laissé à distance.
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