Soit on
vomit soit on rit : encore une question de génération.
Je ne chercherai
pas de formule originale pour rester dans le ton conventionnel de ce film mauvais,
chic et choc, et réitérerai un jugement banal pour regretter une esthétisation
de la violence loin d'en être à son premier coup.
Le buzz médiatique commencé
avec les pectoraux de Lindon a bien
fonctionné : les genrés du genre ont retrouvé une spécialiste des denrées
made in USA : thriller trash and gore.
C’est selon l'expression d’un journaliste:
« un tour d’autos tamponneuses » avec musique tapageuse, couleurs
électriques, fausses frayeurs qui secouent quand même.
Que peuvent dire les
féministes de cette fille à la poitrine enserrée d’un ruban adhésif collant encore très bien après
plusieurs utilisations, et n’affirmant son identité que
dans de provocantes contorsions aux yeux d’ultra mâles ne valant eux aussi que
par leur poitrine ?
Comme ça, "Titane" est un film français ??
RépondreSupprimerMon Dieu, où en sommes-nous ? Cela fait longtemps que je subis les effets de la crise spirituelle grave de ce pays, et le fait d'apprendre cela ne me remonte pas le moral.
Je ne comprends pas pourquoi tu parles "d'esthétisation" de la violence, à moins que ça veuille simplement dire que la violence est mise en scène dans un film. Le mot ne me semble pas approprié. Etalage de la violence dans des images "crues" ? Exploitation même des images de la violence pour assouvir des besoins pulsionnels de personnes qui vivent... sous contrainte (pulsionnelle) jusque dans leurs rêves ?
Bon, dans l'ensemble, en tenant compte de ce que tu as écrit sur les films de Cannes, je peux dire... vive les activités en plein air, qui me sauveront de tous les inconvénients des activités... en salles obscures.
Rebonjour, la bande-annonce m'a suffi. Je n'ai pas envie de voir ce film. Tant pis pour moi s'il a reçu la Palme d'or. Bonne après-midi.
RépondreSupprimer