L’idée simple d’imaginer le
passé et le futur à partir du coin d’une pièce avec fenêtre et cheminée va chercher
dans les mémoires et exciter les imaginations.
L’iconographie foisonnante et élégante à partir de ce lieu
unique où se multiplient les images, interroge sur le temps qui passe et qui
efface, d’où resurgissent des mots de tous les jours qui prennent force à
apparaitre le temps d’une bulle de BD.
Les graphies diverses participent à un carrousel vertigineux,
qui aurait pu nous épargner les épisodes préhistoriques, pour nous permettre de
suivre quelques personnages, que nous ne faisons qu’entrevoir.
Un bel objet aux couleurs pastels où le foisonnement des
images, les ruptures temporelles incessantes, nous font cependant perdre le fil
de l’émotion.
« Au vingtième
siècle, la majorité des gens portaient sur eux plusieurs objets essentiels.
D’abord, un petit appareil qui indiquait approximativement l’heure. Il se
composait d’un boitier rond de métal et de verre fixé sur une lanière de peau
animale et porté autour du poignet. On l’appelait montre, parce qu’il montrait
l’heure. »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire