
A l’issue d’une visite chez les grands parents où Lucien a du user de toute sa persuasion pour trainer ses enfants, le grand père dit :
« Ces réunions de famille m’épuisent.
- Oui je sais, c’est pénible, mais que veux-tu ça leur fait tellement plaisir »
répond la grand-mère.
Ces malentendus nous sauvent parfois.
Le parfum qui se dégage de ces pages est très années 60, et même s’il est question de la grippe A, celle ci se soigne à l’apéro et nécessite un rappel. La ligne a beau demeurer claire, la nostalgie domine, elle nous repose des vacheries du temps. Lucien garde une naïveté qui lui fait échapper bien des écueils. Mais il se retrouve bien souvent seul comme lorsqu’il va acheter quatre repas au Mac Do comme plus petit dénominateur commun à un repas dominical chacun dans sa chambre.
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