Ce devait être un débat au forum de « Libé » de Daniel Cohn Bendit avec Martine Aubry; celle-ci défaillante a été remplacée par Claude Bartolone, qui en bon petit soldat savait qu’il ferait pâle figure à côté du bateleur d’estrade. J’ai préféré suivre ce débat plutôt que celui entre le Béarnais et le maire de Tulles où chacun a dit : « c’est le projet qui fait l’union ». Certes.
Juste avant l’effondrement de la finance, nous venions, au P.S., de reconnaître l’économie de marché. Et c’est au moment où Bayrou perd des plumes, que certains se sentent des faiblesses pour le MODEM, alors que Dany a cédé depuis un moment aux délices modérés.
La problématique des alliances d’appareils est encore plus périmée aujourd’hui que le succès d’Europe Ecologie est dû au dépassement des organisations qui composaient sa galaxie.
Le changement climatique influence les pouvoirs, et si l’on veut gagner et éloigner la tentation de n’être qu’un « beau perdant », il s’agit par une réflexion sur la gouvernance, d’expliquer pour redonner foi en la politique, mettre les actes en accord avec les paroles. Gagner sans décevoir. Est ce qu’un retour de la gauche plurielle réjouirait l’omni président, la solution, réside-t-elle dans l’omni rassemblement ?
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