




Les groupes étaient reliés par des danseurs « pointillés » qui assuraient la transition et installaient le refrain : « Va, aujourd’hui vit au rythme du mouvement qui passe, va… »
Difficile de saisir toutes les intentions des 16 propositions, tant certains passent si vite qu’il ne reste qu’un tourbillon de couleurs, une intensité fugace malgré une scénarisation plus poussée cette année.
J’ai apprécié le message de Villeurbanne : « on ne peut pas savoir où l’on va, si l’on ne sait pas d’où l’on vient ». Graphiquement je retiens les sphères de l’Ardèche ; le beau char de Lyon 3°, et même les brouettes dansaient avec Lyon 8°. Pour clore ces heures, une école de samba emballe le tout dans les règles d’un art réinventé à chaque pas.
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