dimanche 13 juillet 2008

Dialogue avec mon jardinier


La rudesse des mâles aggravée par le grand air accentue la chaleur des ses pages lues dans un souffle. Humour, amitié. La frontière culturelle est abolie entre l’artiste qui est de là et le jardinier qui ramène sous ses pataugas de la terre sur le lino.
Le livre d'Henri Cueco m’avait enchanté et j’avais hésité quand le film est sorti en salle ; je viens d’en apercevoir une longue séquence à la télévision, qui me conforte dans la banale opinion que très rares sont les films qui ne déçoivent pas par rapport au roman. Les acteurs trop connus, malgré leur charme, rendent les sentiments factices et les situations artificielles, alors que le propos du livre fouillait justement la question de l’authenticité, de la vérité…

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire