L’éditorialiste des
plus engagés politiquement dans ses croquis fluides et expressifs est confronté
ici aux problèmes d’une entreprise qui ne sera pas transformée en SCOP (Société
coopérative et participative).
Si cette chronique
rappelle Davodeau
la multiplication
des points de vue évite les enseignements définitifs.
Il s’agit d’une
entreprise familiale appartenant, après quatre générations, au père de l’auteur.
« Je serai celui qui ne reprendra pas la
menuiserie »
Portraits
chaleureux de toute une lignée d’artisans et de ses collaborateurs sans
flonflons nostalgiques, décrivant l’évolution d’un métier et de tout un pays :
l’Ardèche autour des Vans.
Ponctuées par les
menus de la grand-mère, les mutations en cours mettent en mouvement toute une série de personnages différents, vivement
et tendrement campés, tout au long des 150 pages de ce beau livre.
Je n'ai pas trop compris le sens de cet article, la fermeture de l'entreprise est elle sure et certaine ? Est-ce un menuisier bordeaux à qui ça arrive ?? Merci de votre réponse ! et à bientôt
RépondreSupprimerJe ne sais ce qu'il est advenu de la menuiserie.Dans mes articles j'essaye de ne pas répéter ce qu'il y a sur d'autres sites. Cette histoire qui marque une époque, la fin d'une époque, m'a intéressé d'autant plus que le narrateur impliqué est un dessinateur politique qui prend une place de plus en plus importante. Il me semble que cette petite entreprise n'a pas eu de personne pour la reprendre.
RépondreSupprimer