lundi 30 septembre 2013

Ilo Ilo. Anthony Chen.



Un enfant pénible, des parents qui se mentent, débordés. Une nounou philippine arrive dans la maison : qui a le pouvoir ? Qui est écrasé ?
Humiliation, jalousie, les personnages vont évoluer.
La violence à Singapour, là bas comme ici, économique, sociale, confessionnelle.
Une impression de déjà vu pour un cinéma asiatique qui sait traiter les tensions familiales, la façon de filmer  n’est pas vraiment novatrice et ce serait plutôt « la caméra dort » qui aurait pu lui être attribuée à Cannes, tant la trace de ce film s’est évaporée rapidement depuis que je l’ai découvert en mai.
J’avais titré mon avis sur le site City Vox : « une tension douce ».

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