pour un scénario bien ficelé
comme le pauvre con qui croyait être tombé chez un con.
Il ne fait plus le
malin et doit réviser ses classiques :
« On a beau dire,
un pétard, ça augmente considérablement le potentiel d'autorité d'un homme. »
La gueule de l’atmosphère plutôt sombre est relevée de
dialogues aux petits oignons :
« - Vous êtes le
remplaçant du défunt. A mon service ad libitum.
- Je ne discute jamais avec les types qui pensent en latin. Le latin, c'est un truc de droite. »
- Je ne discute jamais avec les types qui pensent en latin. Le latin, c'est un truc de droite. »
Le minable se disant poète de gauche se veut prédateur mais
trouve pire que lui.Et nous tombons volontiers dans le piège où nous retrouvons
nos congénères au bout de ces 150 pages au charme rétro égayées par une ironie
bien contemporaine.
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