« El empléado y el patrón » pourquoi la langue espagnole
n’a-t-elle pas la même faveur que l’hégémonique anglais dans les titres alors que ce
film présenté à la quinzaine de réalisateurs à Cannes est typé ? Il a du
caractère, sans manichéisme.
La
dialectique maître/serviteur est universelle et la description des relations de
classe très présente dans le cinéma d’Amérique latine. Le regard porté sur une
nouvelle génération se renouvelle avec des papas qui s’occupent de leurs bébés
aussi bien en milieu aisé que chez les pauvres. Les hiérarchies évoluent quand s'échangent les services.
Le cheval, symbole de liberté, jouera un
rôle éminent dans cette tragédie uruguayenne.
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