Et si nous pensons à chaque fois à Nicolas de Staël
nous avions envie de retourner voir des artistes exerçant
actuellement,
mais ils n’étaient pas là, ni l’asiatique qui modèle si finement
l’argile,ni l’anglaise enthousiaste du quartier des safraniers.
La ville est toujours aussi belle, mais en ce début d’été
20, la foule manque au pittoresque marché et quand les galeries sont ouvertes
nous en arrivons à regretter le temps où nous étions loin d’être seuls.
Ah si,
nous faisons affaire avec Papalia qui expose ses ferrailles et ses bois flottés
à la Garoupe.
A côté de la chapelle qui recèle quelques ex-votos caractéristiques,
le « Bistrot du curé » propose des petits farcis excellents sous les
pins (d’Alep).
le panorama est remarquable au dessus du port qui accueille le plus de bateaux
de plaisance de toute la côte d’azur dans sa rade avec vue sur la Baie des
anges, ses marinas sur fond de cimes
enneigées du Mercantour. La visite guidée est gratuite.
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