Pause-café de l’autre côté de la frontière sur une aire
d’autoroute que nous avions déjà
fréquentée. L’autostrada est calme et agréable.
Nous sortons, pour une pause méridienne, à Balocco,
petit village autour d’un joli château de briques et de l’église assortie de
l’autre côté de la rue.
Nous pique-niquons avec nos pan bagnats sur le pont qui
accède au château face à un domaine agricole bien délabré, mais plein de charme
et pas tout à fait abandonné.
Durant tout le trajet, j’ai surveillé la vitesse de la
machina, joué le rôle du frein à main du mieux que j’ai pu jusqu’à l’arrivée à
Bergame à 16h.
Difficile de trouver comment rentrer dans le logement loué
comprenant 3 entrées sur 3 rues différentes,
dont deux pour le garage et une
pour l’habitation. Nous posons la voiture pour régler le problème en demandant
conseil à des gens du coin : l’emplacement jaune est réservé aux
résidents, l’emplacement bleu concerne tout le monde et il est payant.
Contacté par téléphone,
Marzio, notre logeur, nous récupère et nous présente les lieux. Pas de
doute nous sommes en Italie ! Hall d’immeuble grandiose
et recouvert de marbre ou travertin. Nous empruntons le petit
ascenseur en 2 groupes pour accéder au 4ème
étage. Nous découvrons un vaste appartement haut de plafond, dans un style des
années 60, comme en attestent une coiffeuse à froufrou dans la chambre
matrimoniale, les meubles en faux ancien,
les dorures, la console portée par un ange et le marbre au sol. L’entrée
est un salon sans fenêtre donnant sur la
salle à manger meublée de fauteuils aux coussins bleus, d’une table ronde et de
bahuts de rangement. Puis à côté se
trouvent la cuisine, séparée de l’entrée par une grille en fer forgé, et enfin un couloir menant aux 3 chambres et
la salle de bain.
Nous nous installons. Marzio
nous a fourni un plan de Bergame en mentionnant les restos susceptibles
de nous intéresser, les supermarchés à proximité, les bus …..Il parle bien le
français, a un contact agréable, se
montre serviable et naturellement sympathique, débonnaire.
Nous allons à pied faire les courses dans le « Il
gigante » près des gares ; c’est un magasin moderne derrière sa
façade en métal rouillée tendance, très réfrigéré et très propre ; nous
sommes quasiment seuls pour choisir nos produits dans les rayons et commander
des spécialités locales : aubergines en lamelles façon pickles, oignons
itou, charcuteries appétissantes
Retour à la casa lourdement chargés. Préparation du repas
par nos deux cuistots habituels et
Spritz. Après un bon repas, nous n’avons pas le courage d’aller baguenauder en
ville dont le centre « moderne » est pourtant tout proche
La dernière photo est féérique !!
RépondreSupprimerMerci pour les belles images.
Le dernière n'est pas de moi.
RépondreSupprimerAh bon ? Une carte postale ? Il n'y a pas de mal, si c'est le cas. J'aime bien revenir de mes voyages avec une ou deux cartes postales.
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