Entre le tremplin de Saint Nizier qui n’a servi que le temps
d’un saut à ski et l’accélération des travaux
à venir pour le grand Paris, les objections envers les Jeux qui auront
lieu en 2024 en France paraissent marginales.
Quant à l’amélioration des stocks de poissons en Atlantique
Nord, cela tranche avec le pessimisme habituel, comme lors d’un autre reportage
quand sont mentionnés des efforts importants consacrés à la préservation des animaux menacés.
L’écriture inclusive alourdit la révélation de l’usage de bêtabloquants par des musiciens de
musique classique, où même l’usage du « on », neutre par définition,
apparait ici « genré.e ».
Le dessin du récit de la rencontre de paysans et d’étudiants
après 68 est maladroit et le récit
sans relief, sauf que ce sont les porteurs de la parole révolutionnaire qui vont
surtout apprendre l’ingratitude du travail aux champs.
La chronique où un dessinateur découvre un sport est
toujours divertissante bien que jouant un peu toujours sur les mêmes ressorts
drolatiques : cette fois « le
cross-fit ».
L’historique de l’abolition
de la peine de mort est bien menée et la description de la politique pénitentiaire sérieusement documentée.
La postérité sujette à contestation du docteur Syms père de
la gynécologie est intéressante, et
le rappel des aléas pour que soit reconnu le football féminin d’actualité.
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