Depardieu apparaît
pour la deuxième fois en couverture après que « Les valseuses » y
furent en majesté http://blog-de-guy.blogspot.com/2013/06/schnock-n7-ete-13.html
.
Pas d’interview toute fraîche de notre Gégé, mais reprise d’un entretien avec
Hervé Guibert dans les années 70, et développement autour du couple qu’il forme avec Bertrand Blier ou a formé avec Jean Carmet, narration du tournage de Cyrano.
Il épate Joe Starr :
« Ah ! Nounours ! Va me
chercher du Viagra ! »
Le petit abécédaire de ses déclarations et de celle des
autres ne manque pas de sel :
« Gérard Depardieu est certainement l’un
des acteurs les plus riches et les plus intéressants de ces dix dernières
années. Avec cet aspect massif, ce côté puissant tonitruant et, d’un autre
côté, c’est un grand lys coupé. » Jean
Pierre Marielle.
Bien entendu un top 5 de ses nanars peut être dressé,
comme il convient dans chaque numéro entre nostalgie à l’évocation du jardin d’acclimatation
comme il convient dans chaque numéro entre nostalgie à l’évocation du jardin d’acclimatation
et kitsch attendrissant des pubs des années 80 : « le Banyuls templers : encore un
que les sarrasins n’auront pas ! ».
L’importance d’Armand
Jamot dans la télévision mérite d'être rappellée, mais un des deux
articles consacré à des seconds rôles, François
Perrot et Roger Trapp, aurait pu
être réservé pour plus tard, bien que d’apercevoir les coulisses, les opportunités
d’une carrière ou ses impasses réservent des surprises.
Charles Dumont, compositeur
de « Je ne regrette rien », n’a pas connu d’autres succès aussi
éclatants mais il a contribué à la notoriété d’autres et a fréquenté du beau monde. Il peut satisfaire notre goût des potins prêté jadis aux concierges
qu’on dirait attirées aujourd’hui par les « people ».
Et le souvenir des « Trois
Jeanne » revient à point nommé :
« Dis Jeanne, il
est où le robinet d’eau chaude ? »
quand il était recommandé aux mecs d’être présents aux
spectacles féministes.
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